L'automne ne passera pas...

C'est tout dans la tête... et dans l'assiette ; alors, pour faire revenir l'été, il faut :

1 pâte feuilletée
des tomates
du pesto
du basilic du jardin ou du balcon ou de chez P*
1 paquet de mozza di buffala

Etaler la pâte, tartiner de pesto, couper les tomates en rondelles et les disposer sur le pesto. Couper de petits morceaux de mozzarella ; les répartir sur les tomates (plus ils sont petits, plus il y en a), couper quelques feuilles de basilic en touche finale
enfourner à 180-200 pendant le temps qu'il faut pour que la mozarella soit fondue, la pâte cuite... 30' environ.
Et c'est bon tout seul, ou avec une salade, un p'tit verre de rosado... puisque c'est l'été on vous dit !!

To do... or not to do...

Se reposer, dormir, lire, écouter de la musique, ne pas prendre le métro et encore moins le taxi….

Regarder 3 enfants débordants d’énergie, le rhume d’automne au coin du nez, chanter, crier, jouer, se chamailler…
Laisser cette semaine derrière soi et sourire en pensant à la prochaine, qui s’achèvera à Séville…
Ne plus penser, ne rien prévoir…sauf...les courses, le linge, la cuisine, les cadeaux d’anniversaire pour Hugo demain, les repas de la semaine prochaine, le rangement des vêtements d'été, les rendez-vous chez le dentiste et l’ostéo-j’ai-encore-mal-au-dos, les certificats médicaux pour les activités de chacun…
Peut-être se lancer dans la peinture de la cuisine, mais tester d’abord cette teinte sirop de fraise…ou préparer les habits d’automne du jardin…
Ou ne rien faire.
C’est le week-end, enfin.

Un peu... tellement...

Un peu endormi le taxi qui m'a ramenée hier après un dîner de boulot... Un peu bizarre avec toutes ses questions sur ma vie mon oeuvre (je note en douce l'immatriculation sur mon téléphone..)
Un peu têtu pour vouloir à tout prix (c'est moi qui paye) passer par la Défense alors que le tunnel était fermé...
Tellement fatigué qu'il s'est endormi, a grillé 2 feux avant de se jeter sur un terre-plein... et de casser sa roue.
Tellement à l'ouest qu'il a voulu augmenter un peu le prix de la course et me ramener quand même, certain que la voiture pouvait rouler...

Tellement content mon chéri de venir me récupérer un peu sonnée, sous la pluie dans la nuit... merkiii

Premières balles...

Rentrée sportive pour ma petite chouette qui avant de pouvoir frapper quelques balles a dû traverser la ville à vélo, entre camions, bus et fous du volants...
et pendant qu'elle taquinait la balle (en mousse pour la première), je me suis juste promenée dans le Parc... il faisait beau; c'était calme et je me suis promis d'en profiter pour courir, dès la semaine prochaine... A suivre !

Sous les cerisiers...

Au départ une envie : aller dîner "Sous les cerisiers", puis un exploit, emmener ma merveilleuse moitié dans un restaurant japonais à l'insu de son plein gré, pour MON anniversaire (sous entendu : c'est lui qui invite), puis enfin, une révélation car cette cuisine est aussi fine que goûteuse : du thon en croute d'amande et sésame à la coriandre à tomber par terre (j'étais vraiment triste de finir mon assiette), un tiramisu (LE dessert honni) au thé goûté du bout des lèvres et englouti... euh assez rapidement.

et il y a aussi un atelier pour prendre des cours... de cuisine japonaise

Petits travaux d'été...

En rentrant des vacances, ma jolie maison me semblait bien blanche (propre certes, mais un poil trop blanche). Alors, après une expédition énergique chez Castomerlin (avec enfants parce qu'on est des vrais warriors), armée des dénommés Rouge Agricole, Vert Olivier, Vert Nénuphar et Bleu d'Orage j'ai attaqué les tables et chaises du jardin...

Vu d'en haut

Il y a 20 ans (pas de commentaires, s'il vous plaît merci), je m'étais envolée sous une belle aile, portée par le vent, surplombant de grandioses paysages des Alpes. Une impression de légèreté, de fluidité, d'accord parfait avec l'environnement. Pas vraiment le silence, mais juste le souffle du vent, plus de bruits de la terre, et une incroyable sérénité...
Et cet été, avec les copines, on a recommencé. Et j'ai retrouvé ces sensations uniques, avant d'atterrir la tête la première, parce que tout ne peut pas être douceur et poésie en ce bas-monde.

Ma p'tite récolte

Lors de notre départ en vacances, elles étaient déjà grosses et encore vertes... et j'étais persuadée que je les retrouverai pourries au retour et ça m'énervait un peu tous ces efforts pour rien... Et finalement, elles étaient là, bien rouges et dodues, prêtes à être cueillies.
Alors, on les a cueillies*. Puis mangées avec de la mozzarella, et le basilic du jardin. Miam.

Garanti sans trucage, ni peinture...

* sauf Agus qui les croque directement sur la branche, laissant son empreinte dentaire sur mes jolies tomates