lundi 31 janvier 2011

La photo du mois - Janvier


Un peu avant 17h, Parc du chemin de l'île, Nanterre, 30 janvier 2011
Péniche Lucania, de Gent

dimanche 30 janvier 2011

Un beau dimanche

Un beau dimanche d'hiver, soleil et froid polaire... Vincent a soufflé ses bougies, balade au Parc, retour dans la maison parfumée de cannelle, entre gâteaux et compotes, une vraie finale de handball d'anniversaire (pour un ancien handballeur bien sûr, parce que perso...) et quelques huîtres pour clore le week-end.
Un seul petit bémol à ce dimanche... il précède un lundi.

Réalisé sans trucage : l'eau des mares avait vraiment gelé

jeudi 27 janvier 2011

Un autre livre...

L'année commence vraiment bien...

Après l'ouragan et les épluchures de patates, je me suis lancée dans l'Ombre du Vent de Carlos Ruiz Zafon et j'ai encore une fois eu du mal lâcher le livre avant d'avoir atteint la dernière page... le brouhaha du métro et train de banlieue ne suffisait pas à me distraire de cette histoire littéralement envoûtante.

Deux histoires qui se rejoignent autour d'un livre oublié, l'Ombre du Vent, dans le vieux Barcelone d'après la Guerre Civile. Des histoires de famille, des amours cachées ou perdues, des vies qui basculent et à la fin, le soupir de satisfaction teintée de tristesse du lecteur : eh oui, c'est fini...
Mais j'en ai d'autres qui m'attendent...

mercredi 26 janvier 2011

Interdit d'interdire?






Quand le petit Gibert ne fait pas seulement sourire...

J’avais entendu parler de ce dictionnaire un peu spécial, pour les enfants… je l’ai feuilleté et j’ai trouvé qu’il m’irait bien aussi et nous l’avons adopté.
Jules s’en est emparé et a commencé à lire quelques définitions, dignes des mots croisés et qui l'ont fait sourire : celle du fleuve, d’origine montagnarde, qui prend sa retraite au bord de la mer, puis celle-ci, qui correspondait assez bien à son humour du moment : Bouche, sac à salive, moulin à paroles….
Et puis je suis tombée sur une définition qui m’a poussée à réfléchir un peu : « Interdire : sport préféré des parents ». Ah. Voilà que le parent apparaît dans son habit de lumière le plus avantageux…

Je veux bien admettre que « c’est parfois sport » d’interdire, de maintenir l’interdiction, mais de là à en faire un loisir, qui plus est préféré, faut pas pousser quand même…
Ceci étant dit, je suis prête à reconnaître que dans certains cas, évidemment très rares, de grand énervement, il m’est arrivé d’interdire à tort et à travers, me demandant intérieurement « Mais tu fais quoi, là ?? A quoi ça sert, ça ?? » et peut-être ai-je donné l’impression d’interdire, juste pour… interdire, pour l'amour du sport, quoi.
Mea Culpa.
Jules n’est pas encore tombé sur cette définition-là… une discussion s’imposera alors !

vendredi 14 janvier 2011

de l'avantage de travailler dans une boîte américaine..

Parfois, on reçoit un mail d'un dénommé James Dean ou on entend quelqu'un expliquer qu'il a avancé sur le sujet avec Don Johnson...
Si l'idée d'avoir James au bout du mail peut me laisser rêveuse, cela m'inquiète plus de prendre des décisions avec Don...



Adendum 25 janvier 2011 : ai reçu un mail de Georges Lucas...

jeudi 13 janvier 2011

Un Ouragan de patates…

Je vais m’expliquer et ce titre apparaîtra limpide comme tout…

J’ai achevé 2010 en recevant du père noël (une mère noël pour être honnête) 2 beaux livres et ai commencé l’année en les lisant. Et ils sont finis. Et j’aimerai pouvoir les recommencer, maintenant, tous les deux, car j’ai été captivée de la première à la dernière page et toute chamboulée en les refermant !
Le premier « Ouragan » de Laurent Gaudé, un auteur que j’aime particulièrement, celui de La Mort du Roi Tsongor, du Soleil des Scorta, d’Eldorado... : lire Ouragan, c’est comme se laisser emporter par le rythme de l’ouragan, on sent le vent qui monte à travers les lignes, les personnages entraînés dans une spirale, puis le calme, relatif, revenir à la fin. C’est un livre cataclysme, des personnages parfois attachants, des destinées tragiques. C’est émouvant, c’est triste et très beau aussi.
Dans un autre registre, le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, (je vous l’avais dit que le titre serait évident), ou comment raconter de façon drôle et légère une période qui ne l’est pas du tout : celle de l’occupation de Guernesey, durant la seconde guerre mondiale. Des personnages particulièrement attachants, des échanges épistolaires comme structure de l’histoire et beaucoup d’humour. En refermant le livre, la nuit dernière à 1h30 (je n’ai pas pu m’arrêter avant), j’ai pensé que je venais de passer un bon moment avec ce livre, que l’histoire était grave, mais le ton tellement léger que je me suis endormie en souriant sûrement (j’aime bien l’idée que je peux m’endormir en souriant, et pas avec un pli au milieu du front) et en me disant qu’il était temps de prévoir une petite visite à St Peter’s Port…

lundi 10 janvier 2011

Les petites brèves #9

Pas de doute, l'année démarre sur les chapeaux de roues!
Ca a commencé par louisette au petit déjeuner, les yeux encore un peu ébourrifés, arrêtant son regard sur le magnifique sapin :
- Dis-maman, quand est-ce qu'on enlève le sapin? - Ce week-end ma chérie, après l'épiphanie - Ah. Et ils viennent quand les pifani?
L'après-midi, galettes entre amis choisis, - Hugo, c'est toi qui a la fève? - non, mais je choisis Jules comme reine. Raaaah la bonne blague
Puis, le soir, Agus, après avoir avalé son croque monsieur : - Maman, je veux encore des crottes de monsieur, moi (oui, en plus du vocabulaire, nous allons devoir effectivement travailler sa syntaxe, en particulier rayer le "je veux" et le remplacer par "je voudrais s'il te plaît"; et je vous épargne les décibels)

Au bowling, on appelle ça un strike.

dimanche 9 janvier 2011

Belle Année !

C'est reparti... les vacances semblent déjà loin, le père-noël a vidé sa hotte, le sapin est retourné en plein air, il reste encore quelques miettes de galette sur la table et la liste de bonnes résolutions s'allonge un peu plus chaque jour (agrémentée, entre deux lignes, de souhaits pour l'année à venir...) A suivre...