Après Camille, Sandra Nkaké, dans un style très Men In Black, baskets flashy aux pieds, une dynamite lancée sur la scène de la Cigale le 13 octobre dernier.
Déménagement après quelque minutes : nos pieds nous emmènent directement dans la fosse : danser, crier, sauter, chanter, rire et sourire.
Elle est très belle. Ils sont tous très beaux dans leur costume noir. On imagine qu'ils ont un peu chaud. Mais c'est certainement le prix de la Grande Classe pour Grand Concert.
mercredi 24 octobre 2012
lundi 22 octobre 2012
Eté Indien
19h, Paris. Alentours de St Lazare. La nuit tombe, la température extérieure est de 22°, des tee-shirts frôlent des imperméables trop chauds et trop lourds, des tennis en toile croisent et narguent les bottes hautes et fourrées.
Impression bizarre, comme ce M ensoleillé qui se détache dans le ciel qui tombe...
Impression bizarre, comme ce M ensoleillé qui se détache dans le ciel qui tombe...
vendredi 12 octobre 2012
Les dessins d'Augustin
- Ca maman, tu vas trouver, c'est facile
- Ah, oui, c'est un drôle de bonhomme !
- Non. c'est un réfrigérateur avec une tête : tu lui demandes ce que tu veux et il te le donne.
- Evidemment.
mercredi 10 octobre 2012
Camille
Elle a la douceur et la poésie de son prénom, mais ne vous y trompez pas, c'est une créature féérique, imaginaire. Elle crée un Monde à partir de tout, de rien, d'un geste, d'un sourire, d'un tissu, d'une ampoule lumineuse qui figure un décor mouvant sur la toile du fond de la scène, d'un bras qui s'élève, des ombres... Elle crée des sons inconnus, de ses mains, de sa bouche, de mouvements qui modulent sa respiration...Elle passe de la furie à une légèreté douce, une invite au sourire et à l'émotion.
Elle livre des textes à peine dépolis, bruts d'émotion et de folie, revisite de la pointe de pieds "Que je t'Aime" (tout en douceur) et improvise aussi, avec ses 3 complices tout aussi rieurs qu'elle.
Camille était à l'Avant Seine lundi soir. On a bien essayé de la retenir, mais elle s'est déjà envolée vers ailleurs ; cherchez-la.
Elle livre des textes à peine dépolis, bruts d'émotion et de folie, revisite de la pointe de pieds "Que je t'Aime" (tout en douceur) et improvise aussi, avec ses 3 complices tout aussi rieurs qu'elle.
Camille était à l'Avant Seine lundi soir. On a bien essayé de la retenir, mais elle s'est déjà envolée vers ailleurs ; cherchez-la.
Il-y-a-des-droits-peut-être-sûrement-pardon-pour-l'emprunt
mardi 9 octobre 2012
jeudi 4 octobre 2012
Entrouvrir les volets...mais à peine
J'aurais bien aimé écrire que nous sommes rentrés de vacances hier... que les valises sont à peine rangées, les vêtements en train de sécher, les enfants prêts à reprendre l'école et nous encore bronzés.
Sauf que. C'était il y a plus d'un mois, le temps a passé trop vite, d'autres travaux d'écriture m'accaparent et le courage m'a manqué ou plutôt une énorme flemme m'a envahie.
Depuis 1 mois, il y a eu la rentrée, particulièrement désorganisée, 40 ans, une entreprise créée, les premières missions, 4-5 livres lus (petits commentaires à venir peut-être), 1 film vu (à la télé, j'en pleure encore, c'était La Guerre est Déclarée et cela vous donne une vague idée de mon retard cinématographique), l'arrivée d'Anton (pas ici car nous affichons complet, mais tout près de Lyon), un voyage à préparer (Buenos Aires, j'arrive !!!) et des projets en veux-tu-en-voilà pour l'année à venir... Alors, je reprends ma respiration, et je reviens.
Sauf que. C'était il y a plus d'un mois, le temps a passé trop vite, d'autres travaux d'écriture m'accaparent et le courage m'a manqué ou plutôt une énorme flemme m'a envahie.
Depuis 1 mois, il y a eu la rentrée, particulièrement désorganisée, 40 ans, une entreprise créée, les premières missions, 4-5 livres lus (petits commentaires à venir peut-être), 1 film vu (à la télé, j'en pleure encore, c'était La Guerre est Déclarée et cela vous donne une vague idée de mon retard cinématographique), l'arrivée d'Anton (pas ici car nous affichons complet, mais tout près de Lyon), un voyage à préparer (Buenos Aires, j'arrive !!!) et des projets en veux-tu-en-voilà pour l'année à venir... Alors, je reprends ma respiration, et je reviens.
A view from... les vacances
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