mercredi 26 janvier 2011
Interdit d'interdire?
Quand le petit Gibert ne fait pas seulement sourire...
J’avais entendu parler de ce dictionnaire un peu spécial, pour les enfants… je l’ai feuilleté et j’ai trouvé qu’il m’irait bien aussi et nous l’avons adopté.
Jules s’en est emparé et a commencé à lire quelques définitions, dignes des mots croisés et qui l'ont fait sourire : celle du fleuve, d’origine montagnarde, qui prend sa retraite au bord de la mer, puis celle-ci, qui correspondait assez bien à son humour du moment : Bouche, sac à salive, moulin à paroles….
Et puis je suis tombée sur une définition qui m’a poussée à réfléchir un peu : « Interdire : sport préféré des parents ». Ah. Voilà que le parent apparaît dans son habit de lumière le plus avantageux…
Je veux bien admettre que « c’est parfois sport » d’interdire, de maintenir l’interdiction, mais de là à en faire un loisir, qui plus est préféré, faut pas pousser quand même…
Ceci étant dit, je suis prête à reconnaître que dans certains cas, évidemment très rares, de grand énervement, il m’est arrivé d’interdire à tort et à travers, me demandant intérieurement « Mais tu fais quoi, là ?? A quoi ça sert, ça ?? » et peut-être ai-je donné l’impression d’interdire, juste pour… interdire, pour l'amour du sport, quoi.
Mea Culpa.
Jules n’est pas encore tombé sur cette définition-là… une discussion s’imposera alors !
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