La photo du mois - Décembre

En décembre, jour de froid sur le Pont des Arts...

Alors on danse?

Faut que je vous parle de farandoles... d'une déclinaison gourmande de cette danse, du beau et bon projet de Céline, qui déniche des produits sympas de petits producteurs qu'on n'aurait jamais trouvés sans elle et qui nous les propose à des prix tout aussi sympas sur son site. J'ai encore le souvenir ému des petits sablés à la cannelle et aux figues, de la confiture de lait de Normandie et ai louché quelques heures (jours peut-être) sur un stollen en provenance directe du grand Est... Et je ne parle même pas du bloc de chocolat noir qui me regarde tout aussi fixement et semble m'envoyer des signaux d'une immense détresse à côté de son carroussel...(mais lui, il est promis pour noël, alors je l'ignore...)

Et pour une petit tour de piste, c'est ICI

Jus de pommes et stollen...
image déjà d'archives :-(

Sans les crampons

Que faire comme gâteau d'anniversaire pour un p'tit gars de 8 ans et ses 8 copains, sachant que "copains" n'englobe absolument aucun élément féminin et que la moitié de la bande termine toutes ses phrases par rugby, chabal, racing, ou ballon (ou pokem*n, bakug*n et toupie bey*-actuellement-en-rupture-de-stock-mondiale)... ?

En cherchant loin, mais alors TRES TRES loin... j'ai trouvé !

Alors, on ne s'emballe pas hein :
c'est un gâteau au yaourt, avec un glaçage
au chocolat est des poteaux-mikado

Ayééééééééé

Après des mois et des mois, de patience (du côté de Valérie )et de travail acharné (quoique non régulier), voilà enfin mon TABOURET !
J'en suis évidemment immensément fière, limite euphorique, prête à attaquer un fauteuil ou une chaise... que je pourrai espérer finir avant 2012 !

Et on peut AUSSI s'asseoir dessus.
Et ça donne une classe incroyable. Vraiment.

8 ans !

Depuis des mois, il calculait 7 ans 1/2, 7 ans 3/4... et vendredi matin, il était debout à l'aube, habillé, impatient de s'entendre souhaiter : "Bon Anniversaire" - Déjà en 2002, c'était tôt le matin, et il me semble qu'il faisait aussi froid, vers Nation ce jour-là...

Bon Anniversaire mon Jules !

Les petites brèves #8

Discussion très sérieuse autour de la linguistique (après une bonne douzaine de répétition de "A ouich you eu mailli clismeuss" :
- Dis maman, tu parles anglais, toi?
- oui chéri, je travaille même en anglais (négatif : je ne cherche pas du tout à impressionner mes enfants)
- Mais pourquoi? (sous entendu, n'importe quoi de parler anglais alors qu'elle travaille à Paris)
- parce que je travaille avec des personnes qui ne parlent pas français. (là, je sens mon gène de la pédagogie qui se réveille...) par exemple, tu sais, les hollandais, ils parlent le néerlandais, et moi,non. Donc on utilise l'anglais et comme ça, on peut se comprendre.
- Ah. Et tu le parles pas, toi, le néandertalien?

Bon. Y a encore du boulot.

So good...

Ambiance cocooning dimanche dernier, autour d'un brunch et d'amis choisis, avec sur la table une variation autour des scones. Recette ultra facile, à faire avec les enfants, d'après Elle à table.

Les Scones courgette et raisins

les ingrédients : 1 courgette, 160 g de farine, 45 g de sucre en poudre, un sachet de sucre vanillé, 1 sachet de levure chimique, 60 g de beurre mou, 30 ml de lait, 100g de raisins secs et 1 jaune d'oeuf.

la recette : Préchauffez le four sur th. 5/150°. Lavez la courgette, puis râpez-la. Versez la farine dans un saladier. Mélangez le sucre en poudre, le sucre vanillé, la levure et une pincée de sel.

Faites tremper les raisins dans l'eau chaude pour les faire ramollir un peu...Ajoutez le beurre coupé en petits dés et la courgette râpée, et amalgamez rapidement la pâte sans trop la travailler. Ajoutez en dernier les raisins et si besoin un peu de lait (20 ml). Formez une boule et Etalez la pâte sur env. 1,5 cm d’épaisseur sur un plan de travail bien fariné.

Découpez des scones à l’aide d’un emporte-pièce. Disposez-les sur une plaque à pâtisserie anti-adhésive. Badigeonnez-les avec le jaune d’oeuf.

Faites cuire 15 mn et dégustez tiède. et rapidement :-)

Têtes de pioche

Je ne sais pas si c'est la culpabilité ou le reste de laine qui me faisait de l'oeil, mais je me suis dit que j'allais compléter avantageusement la jolie écharpe en point coquillette* par un joli bonnet en maille tout aussi coquillette et tout aussi coquette*... j'ai trouvé un modèle, des mesures "taille unique" et me suis lancée.

Et je ne sais pas quoi, mais il y a un truc qui n'a pas dû fonctionner...car le bonnet est trop petit pour elle...

... pour eux...

...et on a finalement trouvé une tête bien faite pour mon bonnet !

* point mousse... n'allez pas croire que je me lance dans des techniques ultra complexes

Invisible et sublime

Hier soir, avec les enfants, nous sommes passés dans un autre monde, féérique, drôle et poétique... c'était le monde de Victoria Chaplin et Jean-Baptiste Thierrée, c'était le Cirque Invisible. Un monde né d'une imagination débordante et d'un savoir-faire incroyable. Un monde où les fées se transforment en poisson ou en cheval, un monde de magie, burlesque et toujours drôle, où les lapins se nomment Jean-Louis et où ce couple fantasque invente costumes et univers délirants, se transformant sans cesse.

Un petit bout du rêve ici

Copyright, oui, mais je sais pas qui...

La photo du mois - Novembre

C'est novembre en Normandie, pas très loin de la mer,

quand l'automne n'a pas encore emporté toutes les feuilles des arbres et que l'air est encore doux, dans la journée, parfois...

Tapisserie youpi

Non, je n'ai pas encore fini, mais je touche au but !!

Steuplé mange ta soupe

... je t'assure même que ça-fait-grandir-regarde-ton-père, tu crois qu'il serait aussi beau et aussi fort sans la soupe ??? Naaaaannn, jamais de la vie.
Alors, s'il te plaît, mange ta soupe, préparée avec carottes, poireaux, pommes de terre, lardons et AMOUR.
4 carottes, 3 pommes de terre, 2 poireaux et du lard fumé (1-2 tranches), 1 cube de bouillon de volaille (parce que c'est pas parce qu'on mitonne des petites soupes maison malgré des semaines épuisantes qu'on est prête à faire bouillir des carcasses de poulet le week-end)
Faire cuire les légumes dans l'eau avec le cube. Faire cuire le lard (ou une saucisse fumée) par ailleurs (dans une casserole d'eau, dans une poële, au micro-ondes...).
Mettre les légumes en morceaux dans un bol, recouvrir de bouillon, ajouter des petits morceaux de lardons (ou de saucisse). C'est DEJA prêt.

Ce que j'aime là-bas

Ce sont les pistes cyclables qui sont de vraies routes pour vélo et pas des dégagements entre voie de bus et stationnement en double file, ce sont tous ces gens, droit comme des I sur leurs batavus à rétropédalage, qui s'en vont, vite, rejoindre leur maison ou leur bureau, qu'il pleuve ou qu'il neige, ce sont les garages au pied des tours, qui abritent des centaines de vélo... c'est de rentrer tard le soir après un dîner avec des collègues et regarder un groupe d'octogénaires à vélo traverser les ponts au dessus du canal...
J'aime bien aller à Amsterdam.
Bon, et je l'admets, c'est aussi tous ces délicieuses petites choses à la cannelle qui, avec le froid, annoncent la Saint Nicolas et Noël ensuite...

Vendredi 11 novembre

Pour les parents héroïques tendance kamikazes, quand il pleut et qu'on ne travaille pas, on peut emmener une ribambelle d'enfants à la Grande galerie de l'évolution - on peut s'étonner de ne pas être les seuls à avoir eu cette brillante idée, attendre dans la pluie et le vent et s'engouffrer en groupe serré dans le musée, à la découverte des dinosaures. L'expo (jusqu'au 15 février) met en scène squelettes de dinosaures, bornes interactives, dents et oeufs ainsi qu'une étonnante machine à brouter...

Les enfants courent, manipulent s'amusent... et même si on fatigue un peu, on rentre avec un certain sentiment du devoir accompli!

La machine à brouter...

Tapisserie... suite mais toujours pas fin

Enfin, j'ai repris... après une longue trêve de 6 mois à peu près... trop longue puisque le noeud coulant qui n'avait plus de secret pour moi m'échappait complètement...
Je dois maintenant finir mes bourrelets (oui, ceux-là, je les finis, les autres.. je dois m'en débarrasser, mais c'est un tout autre débat), avant une dernière couche de crin, puis la toile blanche, étape ultime avant la pose de MON tissu, que je n'ai pas encore choisi évidemment, puisque cela ne fait que 8 mois que je sais que je vais devoir me décider...

C'est moi qui l'ai fait...

C'est une tentative de tricot faite par une maman un peu paresseuse, qui s'est lassé d'allonger les rangs... et qui s'est dit que ça suffirait comme longueur, alors que non.
C'est une tentative de rattrapage, genre numéro de trapèze sans filet "tu sais quoi, j'ai une super idée: on va mettre un bouton"
C'est une tentative de corruption, grâce à un gros joli bouton de chez Petit P*, choisi avec Stef.
Mais tentatives réussies, elle est ravie. Et ça me suffit (pour le moment)...

Merci Cathy...

... pour ce week-end dans une baie magnifique, pour avoir réuni (presque) toute la famille dans un bel endroit, pour avoir contredit les prévisions météorologiques du week-end, pour la belle fête, pour toutes ces bougies soufflées et pour cette incroyable promenade dans la baie, entre le Mont et Tombelaine, dans une eau parfois plus haute que les bottes, les pieds dans la vase ou sur les rochers, et même dans les sables mouvants, et le retour après 3h de marche, de nuit, au pied du Mont illuminé.

Merci et Bon Anniversaire !

Accroche ton rêve à une étoile...

il y a déjà quelques semaines, congrès RH à Paris. Jusque là rien d'anormal, ça arrive à tout le monde... Un professeur italien plein d’humour et de bon sens évoque le rêve, nous rappelle qu’il faut avoir son rêve et s’y accrocher, que découvrir son rêve, c’est essentiel et fondateur, pour toute sa vie. Et puis se le rappeler, souvent. Et puis, le découper en petites étapes pour ne pas qu’il semble trop loin, trop grand. Avoir un « pas à pas » pour aller chercher son rêve, s’en rapprocher un peu chaque jour… C’était un beau message, même (et surtout) appliqué au contexte professionnel... alors en rentrant, j’ai demandé aux enfants s’ils avaient un rêve, puis comment ils voulaient le réaliser… ils sont petits mes enfants, mais Jules m’a répondu que c’était facile, qu’il suffisait de croiser une étoile filante… alors, je l’ai laissé à ce rêve-là…

Je te souhaite de beaux rêves et beaucoup d'étoiles...

Papier mâché et poésie

Si Design from Paris le dit, c'est que c'est vrai. Y a même pas à discuter : Stephanie Desbenoit a un talent fou, des ongles peints au bout de ses doigts de fée et en ce moment, ses gênes de la créativités sont tout émoustillés, alors elle n'arrête pas : bellevilloise un jour, stef la nîmoise un autre, ses créations sont drôles, poétiques et jolies..

Crédit photo stephanie...

J'adore. Et vous?

Hier les murs ont tremblé

Silhouette immense et pale, il est entré sur scène, un peu gauche… physique étonnant de Tintin, ou Charles Trenet peut-être; il a beau s’appeler Jackson, il est d’une extrême blancheur…(bon l'autre aussi, vous me direz)
Et puis il s’asseoit au piano, et le miracle opère : une énergie incroyable et communicatrice semble le traverser, rayonnant à travers toute la salle. Sa voix, forte et puissante, déforme son visage et me ramène plusieurs années en arrière, près de Rouen, assise dans les fauteuils verts du salon lorsque j’écoutais en boucle Night & Day, Big World…
Hier, concert époustouflant de Joe Jackson (à l’Avant Seine), des titres de Rain, son dernier album, mais aussi des plus anciens, et au milieu une détonnante reprise de Scary Monsters de M. David Bowie.

Hier, les murs tremblaient. Hier, il semblait ne pas avoir changé. Et pourtant Big World date de 1986… Respect.

J'oublie une fantastique première partie... Jeffrey Gaines : à écouter absolument.

L'autre jour, c'était l'été...

A Séville, 3 jours d'été, de soleil sur la peau, de balades en tee-shirts, d'apéros tapas en terrasse, de flâneries dans le Real Alcazar, merveille d'architecture mudéjar (oui, en plus je suis revenue PLUS intelligente et savante), dans les jardins entre palmiers, orangers et citronniers...
3 jours en amoureux, à déambuler sous 25-30° dans cette magnifique ville du sud, tellement dépaysante, 3 jours à se lamenter d'avoir pris allemand en 1ère et 2ème langue...mais soulagés de pouvoir pratiquer l'essentiel : tapas y sangria por favor (et la variante : tapas y cerveza ...) 3 petits jours qui ont semblé presqu'une semaine...3 petits jours qui ont rendu la reprise assez... douloureuse.

Chambre, dans la pénombre à la Casa del Rey de Baeza

Las Teresas, festif et bon !

Azulejos, intemporels

Les arènes, sous le soleil

La Macarena, lumineuse

Et nous deux, juste éblouis (l'un par l'autre bien sûr)

Paris-Versailles

Presqu'un an après la série noire, il avait rechaussé les crampons et repris le chemin des terrains ; pour se prouver qu'il avait retrouvé la forme de ses 20 ans et quelques, il s'était engagé dans le Paris-Versailles, 16,8km sans voitures mais pas sans bouchons compte tenu des 22000 participants, avec pour objectif de courir en moins d'1h30.
1h28 plus tard, il est arrivé à Versailles, content, mais un peu fatigué quand même... mais avec ses potes, et ça, c'est encore mieux.

Coureurs anonymes, mais sponsorisés

L'automne ne passera pas...

C'est tout dans la tête... et dans l'assiette ; alors, pour faire revenir l'été, il faut :

1 pâte feuilletée
des tomates
du pesto
du basilic du jardin ou du balcon ou de chez P*
1 paquet de mozza di buffala

Etaler la pâte, tartiner de pesto, couper les tomates en rondelles et les disposer sur le pesto. Couper de petits morceaux de mozzarella ; les répartir sur les tomates (plus ils sont petits, plus il y en a), couper quelques feuilles de basilic en touche finale
enfourner à 180-200 pendant le temps qu'il faut pour que la mozarella soit fondue, la pâte cuite... 30' environ.
Et c'est bon tout seul, ou avec une salade, un p'tit verre de rosado... puisque c'est l'été on vous dit !!

To do... or not to do...

Se reposer, dormir, lire, écouter de la musique, ne pas prendre le métro et encore moins le taxi….

Regarder 3 enfants débordants d’énergie, le rhume d’automne au coin du nez, chanter, crier, jouer, se chamailler…
Laisser cette semaine derrière soi et sourire en pensant à la prochaine, qui s’achèvera à Séville…
Ne plus penser, ne rien prévoir…sauf...les courses, le linge, la cuisine, les cadeaux d’anniversaire pour Hugo demain, les repas de la semaine prochaine, le rangement des vêtements d'été, les rendez-vous chez le dentiste et l’ostéo-j’ai-encore-mal-au-dos, les certificats médicaux pour les activités de chacun…
Peut-être se lancer dans la peinture de la cuisine, mais tester d’abord cette teinte sirop de fraise…ou préparer les habits d’automne du jardin…
Ou ne rien faire.
C’est le week-end, enfin.

Un peu... tellement...

Un peu endormi le taxi qui m'a ramenée hier après un dîner de boulot... Un peu bizarre avec toutes ses questions sur ma vie mon oeuvre (je note en douce l'immatriculation sur mon téléphone..)
Un peu têtu pour vouloir à tout prix (c'est moi qui paye) passer par la Défense alors que le tunnel était fermé...
Tellement fatigué qu'il s'est endormi, a grillé 2 feux avant de se jeter sur un terre-plein... et de casser sa roue.
Tellement à l'ouest qu'il a voulu augmenter un peu le prix de la course et me ramener quand même, certain que la voiture pouvait rouler...

Tellement content mon chéri de venir me récupérer un peu sonnée, sous la pluie dans la nuit... merkiii

Premières balles...

Rentrée sportive pour ma petite chouette qui avant de pouvoir frapper quelques balles a dû traverser la ville à vélo, entre camions, bus et fous du volants...
et pendant qu'elle taquinait la balle (en mousse pour la première), je me suis juste promenée dans le Parc... il faisait beau; c'était calme et je me suis promis d'en profiter pour courir, dès la semaine prochaine... A suivre !

Sous les cerisiers...

Au départ une envie : aller dîner "Sous les cerisiers", puis un exploit, emmener ma merveilleuse moitié dans un restaurant japonais à l'insu de son plein gré, pour MON anniversaire (sous entendu : c'est lui qui invite), puis enfin, une révélation car cette cuisine est aussi fine que goûteuse : du thon en croute d'amande et sésame à la coriandre à tomber par terre (j'étais vraiment triste de finir mon assiette), un tiramisu (LE dessert honni) au thé goûté du bout des lèvres et englouti... euh assez rapidement.

et il y a aussi un atelier pour prendre des cours... de cuisine japonaise

Petits travaux d'été...

En rentrant des vacances, ma jolie maison me semblait bien blanche (propre certes, mais un poil trop blanche). Alors, après une expédition énergique chez Castomerlin (avec enfants parce qu'on est des vrais warriors), armée des dénommés Rouge Agricole, Vert Olivier, Vert Nénuphar et Bleu d'Orage j'ai attaqué les tables et chaises du jardin...

Vu d'en haut

Il y a 20 ans (pas de commentaires, s'il vous plaît merci), je m'étais envolée sous une belle aile, portée par le vent, surplombant de grandioses paysages des Alpes. Une impression de légèreté, de fluidité, d'accord parfait avec l'environnement. Pas vraiment le silence, mais juste le souffle du vent, plus de bruits de la terre, et une incroyable sérénité...
Et cet été, avec les copines, on a recommencé. Et j'ai retrouvé ces sensations uniques, avant d'atterrir la tête la première, parce que tout ne peut pas être douceur et poésie en ce bas-monde.

Ma p'tite récolte

Lors de notre départ en vacances, elles étaient déjà grosses et encore vertes... et j'étais persuadée que je les retrouverai pourries au retour et ça m'énervait un peu tous ces efforts pour rien... Et finalement, elles étaient là, bien rouges et dodues, prêtes à être cueillies.
Alors, on les a cueillies*. Puis mangées avec de la mozzarella, et le basilic du jardin. Miam.

Garanti sans trucage, ni peinture...

* sauf Agus qui les croque directement sur la branche, laissant son empreinte dentaire sur mes jolies tomates