A Beaubourg.
Remonter l'escalator, les yeux rivés sur les toits de Paris qui se découvrent. Se maudire une fois de plus pour n'avoir qu'un *phone pour prendre une photo. Se promettre d'y penser la prochaine fois.
Galerie 1 - Découvrir Munsch. Ce n'est pas que le CRI. Il y a des couleurs plus vives, des scènes plus banales, mais aussi une oeuvre perturbée, parfois très noire...des scènes de meurtres, de bagarre, des corps allongés, cadavres laissés au milieu d'un chemin enneigé. Au milieu de l'exposition, un soleil et ses rayons magnifique, émouvant tant il semble dégager de la lumière et de la chaleur dans cet univers scandinavement froid.
Galerie 2 - Danser sa vie, ou la Danse dans tous ses états, des vidéos d'Isadora Duncan dansant dans un jardin, à ce magnifique tableau de Sonia Delaunay, et aux peintures d'Emil Nolde, en passant par un petit coin musette : sous une guirlande de lumière, 2 casques attendent le visiteur et l'invitent à danser. Un couple valsait, d'autres souriaient.
Galerie Sud - Ouvrir les yeux en grand et plonger dans les pois de Yakoi Kasama. Deux petites salles au milieu de l'expo pour oublier où on se trouve, perdre ses repères par le jeu des miroirs. C'est poétique parfois, décalé souvent.
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1 commentaire:
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