C'était difficile de le dire autrement... bon, j'étais curieuse de voir Eric le magnifique, dont je suis une inconditionnelle, (c'est je pense le SEUL joueur de foot, qui m'ait un jour émue et encore, c'était lors de sa fameuse conférence de presse en Angleterre, après avoir parlé avec ses crampons très près de la tête d'un supporter qui avait cru bon de lui parler de sa maman pendant un match).
Bref, mardi soir, Eric Ze King était à L'Avant Seine, dans la pièce Ubu enchaîné, d'Alfred Jarry, et dans une mise en scène déjantée de Dan Jemmet et Mériam Korichi.
Quand j'écris déjantée, je ne fais pas que répéter bêtement ce que j'ai lu. C'est simple : je n'ai rien compris.
Je me suis même demandé si j'allais m'échapper en douce, mais point de sortie discrète possible. Mon voisin de gauche avait ostensiblement opté pour le mépris faisant semblant de dormir (je dis semblant parce que la musique à fond et les diatribes enflammée d'Ubu rendaient toute tentative de sommeil rigoureusement impossible). Bref, mais ce voisin de gauche n'était pas mon chéri, qui est passé de la perplexité, à l'étonnement, puis au sourire... L'avantage de ne pas vraiment comprendre de quoi il retourne nous a poussé à reporter notre attention sur le décor, étonnant, les personnages et leur jeu, bluffants, le rythme de la pièce et y trouver son compte, car au final ce fut une belle soirée, étonnante...Cornegidouille!
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1 commentaire:
humm interesting comme disent les Brit
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