La scène : Il joue avec ses animaux et ses chevaliers et je l'écoute distraitement, tout en faisant, comme d'habitude, 10 000 autres choses (naaan, je rigole : je lis un magazine vautrée dans le canapé).
- Vas y mon chevaux, attrape-le !! yihaaa"
- on dit "cheval" mon loulou, s'il n'y en a qu'un, c'est "cheval"
...
- Allez mon chevaux, tacatac tacatac
- "Cheval" mon coeur, "cheval"...
...
- Hé chevalier, descends de ton chevaux et viens m'attaquer si t'es un vrai chevalier
- "CHEVAL" ! Chevaux, c'est quand il y en a plusieurs !!
- Oui, mais le mien, il s'appelle cheuvo.
Comment vous exprimer l'immense solitude qui s'est emparée de moi à cet instant...
Je vous présente donc Cheuvo, fier destrier.
3 commentaires:
Sublime...
Immense compassion ;-)
aucune idée de comment je suis arrivée chez toi mais j'aime! (t'as aimé le Lièvre de Patagonie?).
J'adore et cela me rappelle mon Jules il y a un petit moment... :
"Alors chéri on dit un cheval, et des ???"... "Poneys !!!" ;-))
Enregistrer un commentaire